Publié le 25 Mai 2023

Shavouot 2023.

La révélation du Sinaï.

 

 

La fête de shavouot est une des fête dont le sens se révèle de plusieurs façon.

Shavouot veut dire semaine ;

 

 

Dans le premier serment.

1 -Fête des semaines.

2 -Fête de la moisson et des prémices.

3 -Fête de la Torah et du Mont Sinaï.

4 -Fête des commandements.

5 -Fête du mariage où du serment.

6 -Fête du pays où coule le lait et le miel.

 

Dans le deuxième serment.

 

7 -Fête des langues de feu.

8 -Fête de l’Esprit Saint qui descend.

 

 

Au troisième jour de la création Dieu créa la terre  et toutes les semences végétales.  Il dit aux semences de  pousser et la terre devient belle et luxuriante, parfumée et agréable.

Chaque espèce donne son prémice et Dieu bénit le troisième jour.

Ce fut en ce troisième jour que la terre à reçu la première force de vie.

La terre était prête pour accueillir les Hommes, car la nature donnait ses fruits, son feuillage, son bois, son oxygène, ses remèdes, sa beauté, sa nourriture.

 

 

La fête de Shavouot est la troisième fête du calendrier des fêtes bibliques.

Elle nous rappelle au souvenir de la création, quand la terre était parfaite. Quand le mystère de nos existences ne nous fut pas encore révélé.

Cette troisième fête nous rappelle ce troisième jour de la création.

 

Cette terre prémice de l’abondance, cette terre où coule le lait et le miel.

La fête de Shavouot est un rappel de ce que nous sommes en réalité. C’est un souvenir de ce que nous sommes à l’origine.

Car à l’origine nous étions si près de Dieu, que nos âmes étaient liées, inséparables de Dieu.

Nous étions de Dieu fait de Dieu.

 

Difficile pour nous adulte de s’imaginer ce temps si lointain et pourtant si proche.

Univers parfait et saint baigné dans l’amour du Créateur.

De tout temps Dieu, nous ramène à nous ressourcer dans son univers de paix absolu.

 

 

 

 

En effet, nos ancêtres connaissaient la Torah avant qu'elle ait été donnée.

Des lieux d'études ont existé de tous temps,  les Patriarches y ont étudié et, même pendant l'exil d’Egypte.

 

Mais ce Shavouot au temps de Moïse ce jour-là, pour la première fois, Dieu s'adresse aux hommes sur le Mont Sinaï et l'univers entend Sa voix.

Recevoir l'enseignement et les commandements de Dieu donne une puissance nouvelle aux hommes et aux femmes qui croient en Dieu. A partir de cet instant, les actes des hommes ont une véritable influence sur le monde. Ils ont la capacité de le changer, de le spiritualiser et, ainsi d'en faire le lieu digne d'être la  demeure de Dieu.

S’approprier la terre pour en faire une terre où coule le lait et le miel. C’est-à-dire une terre sanctifiée.

 

 

Le lait, évoque le retour aux origines ou les prémices donnent leurs forces, comme pour  la croissance des enfants. Et spirituellement un retour aux origines de la création.

 

1 Pierre; 2.

Désirez, comme des enfants nouveau-nés, le lait spirituel et pur, afin que par lui vous croissiez pour le salut.

 

 

 

-Dans le récit de la naissance de Moïse c’est par le lait de sa mère Yokebed qu’il fut sevré.  Ce lait, c’est une force qu’elle lui projette, la force de devenir Moïse, la force des 10 commandements.

-Le lait c’est un symbole des origines de la Torah, lois de la création de l’univers.

 

-Le miel c’est le symbole de la manne, car elle avait un gout de miel, la manne c’est comme une étude que chaque jour on essaye de comprendre.

La lecture de chaque portion chaque jour des parasha est une étude journalière que l’on a besoin autant que la nourriture. C’est le miel.

 

 

Cantique des cantiques; 4; 11.

Tes lèvres distillent le miel, ma fiancée; Il y a sous ta langue du miel et du lait.

 

La Torah est comparée au lait nourrissant. Le mot hébraïque pour lait est  halav .

La somme des valeurs numériques de chacune des lettres du mot halav – 8, 30, 2 – donne quarante. C’est précisément le nombre de jours que Moïse passa sur le mont Sinaï pour recevoir la Torah.

Cette allusion aux 40 jours où Moïse étudia la Loi sur la montagne avant de recevoir les tables de la loi.

 

Ce qui nous donne la révélation du lait et du miel.

L’étude c’est le miel et la Torah c’est le lait.

 

 

Le jour de Shavouot alors que la terre tonnait et déchiré le ciel par des éclairs foudroyants, le peuple en bas sur la terre pétrifié dans un silence absolu, pour n’entendre plus que les échos du ciel qui remontaient jusqu’à leurs âmes, pour recevoir les émanations que Dieu envoyaient.

Soudain dans le ciel une voix se fit entendre : «  Je suis l’Eternel votre Dieu ». Et Dieu prononça les 10 commandements l’un après l’autre.

C’est à cet instant que l’Esprit de vie descendit sur le peuple et la parole des 10 commandements prit vie en chacun des croyants.

 

Shavouot du temps de Moïse fut les prémices de ce qu’il allait arriver après que le Messie, eut achevé son  oeuvre de rédemption pour le monde au soir de Pessah, iI a donné sa vie pour nous sauver, depuis ce jour la possibilité de croire en Dieu est devenu  accessible à toute personne du monde entier.

De ce jour de Pessah suivi des 50 jours nous fêtons Shavouot qui célèbre l’Esprit de vie qui est en chacun des croyants .

 

Car l’homme doit accomplir aussi sa mort pour vivre sa résurrection à Shavouot.

Car l’Esprit qui vient ce jour est l’Esprit de la parole de Dieu qui avait été donné au commencement  et cet Esprit qui est comme endormi en nous, se réveille de son long sommeil  sans Dieu.

 

C’est à Shavouot que le croyant est transformé de l’intérieur.

Le lait et le miel coule en abondance, la Torah devient vivante, elle est comme un prince qui vient éveiller sa fiancée pour lui redonner la vie.

Shavouot c’est l’Esprit de vie qui est distribué à chacun selon ce qu’il désire recevoir de Dieu.

Shavouot c’est donc d’une part recevoir les 10 commandements de la Torah et d’une autre part recevoir l’Esprit de Dieu.

Shavouot et de la même étymologie que shevoua,  un mot au singulier qui veut dire le serment  et comme shavouot est un  pluriel ça veut bien dire qu’il a bien 2 serments.

Les deux serments du Mont Sinaï.

C’est ainsi que fut scellé les deux serments le lien entre Dieu et nous   par des attaches les plus essentielles  de la Torah et de Yeshoua le Messie. Comme une union maritale.

 

 

Shavouot c’est un rassemblement du peuple qui veut recevoir de Dieu, il est dans l’attente, le souffle coupé il veut que quelque chose se passe, c’est pas une fête ordinaire l’union entre ce qui se passe dans le ciel et sur la terre doit se connecter, il faut qu’il y est un bouleversement entre Dieu et nous. Un événement extraordinaire.

 

Actes; 2; 1 à 4.

 

 

Le jour de Shavouot, ils étaient tous ensemble dans le même lieu. Tout à coup il vint du ciel un bruit comme celui d'un vent impétueux, et il remplit toute la maison où ils étaient assis. Des langues, semblables à des langues de feu, leur apparurent, séparées les unes des autres, et se posèrent sur chacun d'eux. Et ils furent tous remplis de l’Esprit Saint, et se mirent à parler en d'autres langues, selon que l'Esprit leur donnait de s’exprimer.

 

 

Ma parole n'est-elle pas comme un feu, dit l’Eternel.

 

 

Comme la révélation du Mont Sinaï c’est révélé dans le feu du buisson; c’est par le feu que Dieu donna les 10 paroles, et c’est par ce feu qui s’est divisé en une multitude que chacune des flammes, est venu sur les croyants afin que la révélation du Sinaï les pénètrent et qu’ils puissent goûter les délices du ciel, ce lait et ce miel qui se transforme en Esprit de vie.

 

Psaume; 39; 3..

Mon coeur brûlait au dedans de moi, un feu intérieur me consumait, et la parole est venue sur ma langue.

Je reste muet, je n'ouvre pas la bouche, car c'est toi qui agis.

 

 

 

 

Psaume de David.

 

La voix de l'Eternel est puissante, La voix de l'Eternel est majestueuse.

 

 

 

 

La voix de l'Eternel fait jaillir des flammes de feu.

 

La voix de l'Eternel fait trembler le désert; L'Eternel fait trembler le désert de Kadès.

 

 

L’Esprit de Dieu est un feu qui ne s’éteint jamais, celui qui reçois ce feu vivra avec l’Esprit.

 

 

Galates; 5; 25.

Si nous vivons par l'Esprit, marchons aussi selon l’Esprit.

 

 

 

-Vivre sur cette terre sanctifiée par l’Esprit de la Torah enseigné par Yeshoua.

 

 

 

La fête de Shavouot se distingue par des traditions qui permettent au peuple  la transmission familiale.

Avec la révélation de la Torah est venu l’Esprit de prophétie, quand Israël a reçu la Torah, il est devenu prophète parmi les nations.

Et c’est par la prophétie que ce sont construites certaines traditions qui aident le peuple à transmettre les valeurs pur pour ce monde.

 

Il est donc traditionnel de consommer des aliments lactés durant le repas et  aussi pour le dessert le gâteaux cheesecake qui se déguste dans toutes les famille qui s’identifie aux coutumes juives.

Shavouot  était la fête de la récolte, il est de coutume de décorer sa maison  de fleurs, fruits, plantes vertes.

De plus, nos Sages relatent que bien que le Mont Sinaï soit une montagne rocailleuse située en plein désert, il se recouvrit d’un tapis d’herbe et d’une multitude de fleurs lors du don de la Torah.

 

On fait dès jeudi soir l’entrée de la fête en faisant le pain et le vin comme à shabbat.

Pour cette fête on peut donner différente forme aux deux pains.

Certains font deux pains ressemblant aux tables de la loi, certains font les pains en forme d’échelle ou le décor d’une échelle car le mot échelle à la même valeur numérique que Sinaï.

 

On lit aussi le livre de Ruth.

Nous rappelant que nous sommes tous comme des Ruth éloigné de Dieu sur terre, mais que notre désir est bien de retrouver nos origines perdues. Ruth représente celle qui cherche le Messie Yeshoua, car elle est parti pour  Bethlehem, ville ou est né Yeshoua.

Qu’importe son passé elle veut suivre une famille juive, car c’est le chemin qui la mène au pays où coule le lait et le miel.

 

Ruth prononça ces paroles.

 

 

Ton peuple est mon peuple !

Ton Dieu est mon Dieu !

 

Et nous, nous pouvons dire.

 

Nous sommes ton peuple celui que tu t’es acquis, un peuple unis par la Torah et par Yeshoua.

Car nous voulons recevoir l’Esprit de Yeshoua, qui nous enseigne tes lois, celle que tu a créé au commencement de ta création, car nous voulons aller vers ce lieu où coule le lait et le miel, pour toujours.

 

 

 

 

Bonne fête de Shavouot Soyez béni et recevez les promesses de Dieu en Yeshoua Ha Mashiach !

 

 

Shabbat shalom L.B

 

 

 

Lecture de Shavouot

Le livre de Ruth entier .

 

Exode: Chapitre 19 et 20.

Nombres:  28: 26 à 31.

Ezechiel: 1: 1, 28 à 3 à 12.

Actes: 2 Entier.

 

 

Le deuxième jour.

Deutéronome: 15: 19 à 16: 17.

Nombres: 28: 26 à 31 

Habacuc: 2:  20 à  3: 19.

 

 

Psaumes 113 à 118.

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Rédigé par Lydia.B

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Publié le 19 Mai 2023

Parasha Bamidbar du samedi 20 Mai 2023.

Le sable du désert.

 

Cette semaine on commence une nouvelle histoire avec la parasha, Bamidbar qui s’ouvre avec le premier chapitre du livre des Nombres.

 

 

Dieu parle à Moïse dans le désert du Sinaï.

Suite à tout un tas d’événements Dieu demande de faire un relevé des survivants, selon leur familles,  pour connaître les effectifs de chaque tribu. Et prend en compte ceux qui sont apte à défendre le peuple, ceux qui sont apte à enseigner, et ceux qui sont apte à les diriger.

 

Afin que chacun puisse être inscrit  dans le registre, selon leur généalogie, devant des témoins attestant leur identité.

Ce recensement tient compte des différences d’âges.

Dieu insiste sur la nécessité de respecter chacun dans leur service qui leur est destiné, afin de n’être pas frappé par la mort.

Chaque représentant de tribu portait un drapeau représentant sa couleur de tribu, ainsi à chaque déplacement chacun élevait son drapeau, ce qui permettait de cadencer la levée de chaque tribu, selon un ordre bien établi.

Les trois familles des Lévites, sont nommées pour effectuer le démontage et le remontage, à chaque départ  et arrêt du camp avec le sanctuaire.

Et lorsque le camp voyage c’est avec la nuée, qu’ils savent quand ils devaient partir ou stopper leur marche.

 

Voilà, que cette parasha nous parle de cette marche dans le désert, mais le problème avec cette parasha c’est qu’il y a un fait rare, c’est qu’il n’y a pas de loi, comme habituellement dans chaque parasha, il y a toujours un certains nombres de lois qui doivent nous enseigner.

 

Donc ici pas de mitsvas à faire.

Mais comme nous savons que toute la Torah nous enseigne, il faut donc comprendre ici, que c’est Dieu qui agit, qui fait, et qui enseigne directement.

 

 

Dans ce désert Dieu conduit son peuple.

Le désert nous enseigne.

Dans cette situation le peuple a péché, il y eu le veau d’or, ainsi que d’autres péripéties désastreuses, Dieu veut les conduire vers ce désert.

 

 

Le désert c’est le vide de la pensée, c’est laisser la place pour recevoir et entendre ce que Dieu veut dire.

 

-Le sable est composé de petites particules de roches, tous issus du même rocher, tous les grains de sable sont liés les uns aux autres, pour former une vaste étendue. Le sable s’identifie que si les autres sables existent, ils forment une union solide.

Le sable est comparé à un peuple.

 

 

 

 

Jérémie; 6; 8. 

Reçois instruction, Jérusalem, de peur que je ne m’éloigne de toi, Que je ne fasse de toi un désert, Un pays inhabité !

 

 

 

La traversée du désert c’est une période de séparation.

C’est le temps du changement.

 

 

 

Dieu amène son peuple dans le désert pour lui parler. Il fait d’eux un désert.

 

Ces textes qui sont d’une grande profondeur prophétique annonce le Messie.

 

 

Romains; 9; 27.

Esaïe, de son côté, s'écrie au sujet d'Israël: Quand le nombre des fils d'Israël serait comme le sable de la mer.

 

 

 

-Du sable du désert, au sable de la mer.

Le sable du désert est sec et sans vie, un peuple sans vie mais le sable de la mer est salé et mouillé, il est le sel de la terre, il est vivant, par l’Esprit de Yeshoua.

 

Marc 2;13

Yeshoua sortit de nouveau du côté de la mer. Toute la foule venait à lui, et il les enseignait.

 

 

 

Esaïe 32; 15, 16. 

Jusqu’à ce que l’Esprit soit répandu d’en haut sur nous, et que le désert se change en verger, et que le verger soit considéré comme une forêt.

  Alors la droiture habitera dans le désert, et la justice aura sa demeure dans le verger.

 

Psaumes 107; 35. 

Il change le désert en étang, et la terre aride en sources d’eaux,

 

La prophétie annonce qu’un jour le peuple de Dieu sera immense, il sera comme le sable de la mer, chaque grain de sable sera compté, ce sable  est séparé de la mer, il est sur le rivage sauvé par les eaux comme Moïse.

 

Psaumes 104; 9  Tu as posé une limite que les eaux ne doivent point franchir, Afin qu’elles ne reviennent plus couvrir la terre.

 

Le sable du bord de l’eau, c’est une limite que la mer ne peut pas dépasser, une limite contre les impies.

 

 

 

 

Notre parasha coïncide avec la révélation du Messie Yeshoua, par le fait que le peuple était dans le désert sur le sable et que la présence de Dieu les enseignait à travers la colonne de nuée le jour et la colonne de nuée la nuit.

 

 

 

La vision de ce phénomène représente la foule, qui s’asseyant sur le sable voyant de leur yeux,  la colonne de nuée se posait le jour, c’est le temps que Dieu parlait à son peuple directement individuellement, car chacun avait été recensé nom par nom.

Comme Yeshoua  pour enseigner à la foule.

 

Mathieu; 13; 1.

Ce même jour, Yeshoua sortit de la maison, et s'assit au bord de la mer. Une grande foule s'étant assemblée auprès de lui, il monta dans une barque, et il s'assit. Toute la foule se tenait sur le rivage.

 

 

La traversée du désert pour chaque personne c’est l’étape pour passer à autre chose.

 

C’est faire le vide pour écouter le changement que Dieu veut nous faire comprendre.

 

A considérer les choses autrement, à s’orienter vers l’intérieur, écouter ce qui se passe au fond de notre âme. Changer ses habitudes en ne regardant pas sur son vécu,  mais à se recentrer sur l’essentiel.

 

 

Le peuple hébreux ayant parcouru cette marche avec la présence de Dieu dans la nuée qui enseignait les lois donné à Moïse, nous rappelle qu’un jour le Messie est venu pour accomplir ses lois, en nous.

Il est venu un jour vers chacun de nous, Il s’est approché de nous,  pour nous délivrer de l’emprise des esprits. Il est venu nous parler individuellement, il nous à inscrit dans son registre  où chacun de nos noms y est mentionné avec l’encre de son sang, afin que nos noms de soit jamais effacé, mais  qu’il y soit inscrit éternellement.

 

Esaïe; 49; 16.

Voici j’ai écrit ton nom sur la paume de mes mains.

 

 

-Dans la paume des mains de Yeshoua avec la pointe des clous sur le bois par son sang, il a gravé nos noms éternellement.

 

Aller dans le désert c’est chercher le Messie, chercher la vérité, aller le chercher comme on cherche une source d’eau dans le désert, comme des assoiffés,  cherchant une Oasis près des palmiers et se laisser enseigner paisiblement, jusqu’à plus soif.

 

Le peuple devait toujours s’attendre à ce que le Messie vienne, s’attendre à l’événement comme si c’était pour l’instant d’après, attendre le Messie avec une conviction extraordinaire, car  la venue du  fils de Dieu, Yeshoua  allait rassemblé les nations,  pour aller vers ce nouveau monde, car le fils de l’Homme Yeshoua le Messie veut  nous conduire en terre promise,  et cette terre n’est pas de ce monde, cette terre promise est  céleste.

La terre promise, terre où coule le lait et le miel. Cette phrase exprime l’abondance de l’Esprit qui coulera en permanence sur nous,  en continue pour nous alimenter de la connaissance.

La traversée du désert c’est l’attente  du Messie qui nous conduit par son Esprit.

 

 

C’est dans ce désert que l’on retrouve ce qui est en nous depuis toujours, la vérité.

 

C’est apprendre à  reconnaître le Messie uniquement avec la connaissance de la Torah.

Car c’est là l’enseignement qu’a reçu les lévites, de transmettre la connaissance, car lorsque viendra le Messie il faudra que le peuple le reconnaisse parmi tous les faux messies que les religions ont inventé.

Un seul Messie aura gardé son identité, une identité signé avec la loi, car la loi est l’origine du monde et c’est par le fils que Dieu l’à crée, il est la loi, il est le garant de la vérité.

 

La loi de Dieu c’est la liberté de l’âme.

Pour être libre il faut connaître la vérité qui sort de la loi, car  elle est inscrite dans le coeur de tous les hommes que Dieu à créé. Parce qu’il est enfant de la vérité.

L’homme connaît la loi depuis toujours, son âme est sainte et a besoin de vivre selon cette sainteté, car la loi est le coeur de Yeshoua et vivre comme elle nous unit à Dieu.

 

Les lois de la création divine  forment une séparation d’avec le mal qui règne autour du juste. La loi c’est l’Amour qui nous unit, elle se vit par le partage, les bonnes moeurs, l’intégrité, l’aide, la loi agit comme des barrières et fixe des limites.

 

La loi c’est l’Esprit de Yeshoua  c’est l’accomplissement le rétablissement  de l’âme des justes par  l’Esprit qui restaure  et rétabli ce qui avait été abîmé.

 

Bamidbar c’est le rassemblement  des justes de toutes les tribus dispersé dans le monde, le désert de  la séparation d’avec les païens,  comme le blé qui a poussé avec l’ivraie, mais qui au final sera séparé.

 

Mathieu; 13; 30.

Laissez croître ensemble l'un et l'autre jusqu'à la moisson, et, à l'époque de la moisson, je dirai aux moissonneurs: Arrachez d'abord l'ivraie, et liez-la en gerbes pour la brûler, mais amassez le blé dans mon grenier.

 

 

La parasha Bamidbar est une mise à l’écart en vue d’être prêt pour recevoir l’Esprit de Dieu qui vient.

 

 

 

 

Osée; 2;14.

C'est pourquoi voici, je veux l'attirer et la conduire au désert, et je parlerai à son coeur.

 

 

 

 

 

 

 

 

Que ceux qui entendent la voix du Seigneur soit saisi par l’Esprit, qu’ils abandonnent leurs préjugés et leurs connaissances, qu’ils fassent le vide et soit prêt pour recevoir la Torah en Esprit et en vérité car celui qui reçoit la Torah reçoit Yeshoua.

 

 

Osée; 1; 10.

 

 

Cependant le nombre des enfants d'Israël sera comme le sable de la mer, qui ne peut ni se mesurer ni se compter; et au lieu qu'on leur disait: Vous n'êtes pas mon peuple! on leur dira: Fils du Dieu vivant!

 

 

-Cette semaine dès jeudi soir commence la fête de Shavouot, pentecôte. C’est pourquoi ce shabbat bamidbar nous invite  à écouter ce que l’Esprit de Dieu veut nous dire, afin d’enlever les esprits qui nous empêchent d’avancer,  car Shavouot sera le temps pour recevoir plus de Dieu.

 

Shabbat shalom

 

L.B

 

 

Lecture de la parasha: Nombres: Chapitre 1 verset 1 à chapitre 4 verset 20.

Lecture de la haftarah: Osée: Chapitre 2 verset 1 à 22

Lecture messianique:  Luc; chapitre  2; verset 1 à 7.

1 Corinthiens: Chapitre 12 verset 12 à 31. 

 

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Rédigé par Lydia.B

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Publié le 12 Mai 2023

Parasha Béhar et Béhoukotaï du samedi 13 mai 2023

Il est notre Roi.

 

Cette semaine il y a 2 parasha, Béhar et Béhoukotaï.

 

Béhar veut dire: sur le mont Sinaï .

 

 

-Sur le mont Sinaï, Dieu communique à Moïse les lois de l'année sabbatique : chaque septième année, tout travail agricole devra cesser, et les produits de la terre seront à la disposition de tous, hommes et animaux.

 

Sept cycles sabbatiques sont suivis de la 50ème année, appelée "Yovel" "le jubilé", pendant laquelle le travail agricole cesse également, tous les esclaves sont remis en liberté et toutes les propriétés terriennes de la Terre Sainte qui ont été vendues, retournent à leurs propriétaires originaux.

La Parasha nous donne ensuite des lois complémentaires concernant la vente des terres, l’interdiction de fraude dans le commerce, et l’interdiction du prêt avec intérêt.

 

 

 

 

Béhoukotaï veut dire: Selon mes lois.

Dieu décrit à Moïse les bénédictions dont il comblera les enfants d’Israël s'ils obéissent à Ses décrets, ainsi que les malédictions dans le cas contraire.

 

Quand vous serez entré dans le pays  que je vous donne, la terre sera soumise à un arrêt de travail tous les 7 ans  car durant 6 années vous cultiverez vos terres et la septième année ce sera le repos de  la terre, c’est l’année de relâche. C’est la chemita de la terre.

Puis tu compteras 7 fois 7 années  et la cinquantième année ce sera le jubilé  pour toute la terre, ce sera un arrêt pour le commerce, les contrats,  les acquisitions, les ventes de terrain.

 

Et la parasha termine avec cette recommandation n’idolâtre pas les faux dieux.

 

 

Ces deux parasha sont exposées sous forme de promesse.

En effet l’annonce de ses lois, si elles sont respectées promet un bon rendement financier au peuple de Dieu.

Mais voilà que ces lois nous semblent impraticables.

Ce qui pourrait nous attrister pensant que de ne pas pouvoir mettre en pratique ses lois on ne pourrait pas être bénis financièrement.

Ces lois sur la chemita  et le jubilé, doivent aussi se comprendre avec un autre sens  pour qu’elles soient accessibles à tous.

 

La chemita ou les jubilés nous apprennent une loi fondamentale celle du « bita’hone » c’est-à-dire:

La foi absolue.

 

Car il est dit: celui qui a la foi absolue ne manquera jamais de rien, celui qui ne s’inquiète pas de son avenir vit  par la foi absolue.

 

 

Car les textes nous disent d’arrêter toutes activités durant ces temps et de vivre par la foi.

 

On pourrait donc se sentir déprimer et penser que l’on est pas à la hauteur des attentes de Dieu devant notre foi si fragiles et faibles, prit par nos inquiétudes , et alors  se laisser aller et  broyer du noir en se morfondant devant nos problèmes, surtout si les problèmes durent depuis longtemps.

 

Hébreux; 12; 11

 

Il est vrai que tout châtiment semble d'abord un sujet de tristesse, et non de joie; mais il produit plus tard pour ceux qui ont été ainsi exercés un fruit paisible de justice.

 

 

Mais nos parasha viennent nous rappeler  qu’il ne faut pas avoir d’inquiétude car Dieu veille sur nous il regarde chacun de prés c’est ce que l’on appelle en hébreux:

« la hachga’hat pratith »:

La providence divine qui veille sur nous individuellement.

C’est le fondement de notre foi que de penser qu’aucun endroit n’est vide de Dieu

 

Psaume 33; 13,15.

 

L'Eternel regarde du haut des cieux, Il voit tous les fils de l'homme;

 

Du lieu de sa demeure il observe tous les habitants de la terre,

 

Lui qui forme leur coeur à tous, qui est attentif à toutes leurs actions.

 

 

 

À travers notre foi absolue, on s’élève à un niveau où Dieu est intimement impliqué dans notre vie.

 

Celui ou celle qui croit en la hachga’ha pratith rencontre Dieu dans tout ce qu’il ou elle voit et entend. Chaque facette de sa vie devient une nouvelle opportunité de voir Dieu.

 

C’est cela qui nous différencie des païens.

 

Même si parfois nos situations sont lourdes à vivre,  ou semblent interminables,  c’est juste que cela est déterminé par Dieu selon qu’Il sait ce qui est bon pour nous.

C’est alors que l’on doit se renforcer dans la foi absolue,  qu’on fasse preuve de bita’hone,  une confiance extrême envers Dieu.

Et cette foi absolue nous fait trouver des réponses à nos questionnements, nous fait comprendre d’où vient le problème,  ce qui permet de modifier le cours de notre vie et d’en récolter les bénédictions, les récompenses financières et les guérisons.

 

Ce temps nous est donné pour reprendre confiance et se renforcer dans la foi.

 

 

 

 

Car les promesses de bénédiction sont pour le peuple de Dieu.

 

Heureux l'homme qui supporte patiemment la tentation; car, après avoir été éprouvé, il recevra la couronne de vie que le Seigneur a promise à ceux qui l’aiment.

 

Car la couronne sera comme une parure de sainteté sur nos têtes, quand nous serons dans le Palais Céleste.

 

 

La parasha Béhoukotaï se termine par un sévère avertissement de ne jamais idolâtrer un faux dieu.

 

 

 

Mais dans un contexte un peu spécial cette année, il faut ouvrir une parenthèse pour parler de ce qui s’est passé cette semaine.

 

 

Le 6 mai 2023 il y a eu le couronnement de Charles III roi d’Angleterre.

 

 

Et ce qui est arrivé devrait nous interpeller, car l’horizon de ce macabre couronnement n’annonce pas un bon présage.

 

Lors de son sacrement le Roi Charles III a été oint d’huile par l’archevêque de Canterbury puis il a déclaré officiellement que Charles III est le représentant de Dieu sur terre.

Et à la fin de la procession tous les représentants de toutes les religions ont prononcé en coeur. « Votre majesté, nous nous unissons aux personnes de toutes confessions et croyances dans l’action de grâce et à votre service pour le bien commun ».

 

 

 

 

 

 

-Ce qui s’est passé n’est pas du tout positif  car l’ordre qui gouverne ce royaume est un ordre de

La Grande Loge unie d’Angleterre. Une des plus obscures.

 

 

 

Tout ça pour dire que nous n’avons pas à s’extasier, ni même s’intéresser à ce genre de couronnement, car il est une idole de grande envergure, un roi qui représente ce monde et ces religions.

Il est parmi les puissants qui dirigent le monde.

 

Jacques; 5; 1 à 6.

A vous maintenant, riches! Pleurez et gémissez, à cause des malheurs qui viendront sur vous. Vos richesses sont pourries, et vos vêtements sont rongés par les teignes. Votre or et votre argent sont rouillés; et leur rouille s'élèvera en témoignage contre vous, et dévorera vos chairs comme un feu. Vous avez amassé des trésors dans les derniers jours! Voici, le salaire des ouvriers qui ont moissonné vos champs, et dont vous les avez frustrés, crie, et les cris des moissonneurs sont parvenus jusqu'aux oreilles du Seigneur des armées. Vous avez vécu sur la terre dans les voluptés et dans les délices, vous avez rassasié vos coeurs au jour du carnage. Vous avez condamné, vous avez tué le juste, qui ne vous a pas résisté.

 

 

-Mais nous qui croyons en Yeshoua, notre Grand Roi, un Seigneur qui nous promet un couronnement éternel, c’est vers lui que nous portons notre foi.

 

Et le Roi que nous honorons c’est lui dont il est dit:

 

Zacharie 9; 9

 

 

Sois transportée d'allégresse, fille de Sion! Pousse des cris de joie, fille de Jérusalem! Voici, ton roi vient à toi; Il est juste et victorieux, Il est humble et monté sur un âne, Sur un âne, le petit d'une ânesse.

 

 

Notre Roi est parmi les pauvres, Il ne vient pas avec huit chevaux blanc, mais il est venu sur le dos d’un âne, car il est humble il est le Messie Yeshoua. La couronne qu’il a porté est une couronne d’épine. Il a souffert pour nous et nous l’honorons pour ce couronnement qui nous délivre de tout esclavage de ce monde, nous sommes libre est heureux, car nous somme dans ce monde mais nous ne faisons pas parti de ce monde.

 

 

Car l’esclave n’est pas un homme qui travaille sans salaire, c’est un homme qui place à sa tête un puissant, un roi, un président, qui se prend pour Dieu.

Car il est écrit : maudit soit l’homme qui met sa confiance dans un homme un être de chair.

 

Dieu nous a donné son fils Yeshoua qui a brisé le joug de l’esclavage du monde car il nous a racheter de cette malédiction.

-Le pauvre choisit son Roi celui qui nous aime mais le riche veut suivre ses biens matériels, sa carrière, la marque de la bête est sur son front comme une couronne, il mourra dans la ruine de son âme  car voulant sauver sa vie il la perdra.

 

 

Devant tout ce qui s’est passé, pour nous il n’y a qu’une seule chose qui compte, c’est la foi en notre sauveur.

 

Il ne faut jamais douter qu’il veille sur nous, qu’il nous protège, et  que jamais nous ne manquons de ce dont nous avons besoin.

 

Cette parasha vient nous renforcer dans la foi et dans le combat qui nous permet de vivre la confiance absolue en Dieu.

 

2 Timothée; 4; 7, 8.

J'ai combattu le bon combat, j'ai achevé la course, j'ai gardé la foi. Désormais la couronne de justice m'est réservée; le Seigneur, le juste juge, me la donnera dans ce jour-là, et non seulement à moi, mais encore à tous ceux qui auront aimé son avènement.

  

-La parasha se termine en nous disant que celui qui garde ses lois sera toujours béni.

Alors nous comprenons ici que la loi de la chemita ou du jubilé, ne se pratique pas  au sens littéraire mais au sens réel, c’est la loi de la foi.

Vivre par la foi et nous accomplissons ces lois. Et les promesses de Dieu s’accompliront.

 

1 Timothée; 1;18.

 

Le commandement que je t'adresse, Timothée, mon enfant, selon les prophéties faites précédemment à ton sujet, c'est que, d'après elles, tu combattes le bon combat, en gardant la foi et une bonne conscience.

 

 

Apocalypse; 14; 12.

 

C'est ici la persévérance des saints, qui gardent les commandements de Dieu et la foi en Yeshoua.

 

 

 

Ainsi accomplissons ces  lois, en vivant par la foi absolue et ayons  une confiance absolue car Dieu nous voit, nous entend, il va nous bénir, car ses promesses sont certaines.

 

 

 

Et comme le dit le verset dans Luc; 17; 5.

Les apôtres dirent au Seigneur: Augmente-nous la foi.

 

Nous aussi on peut dire:

Seigneur: Augmente-nous la foi.

 

Shabbat shalom

L.B

 

 

 

 

Lecture de la parasha Béhar ; Lévitique : Chapitre 25 verset 1 à chapitre 26 verset 2.

 

Lecture de la haftarah Béhar : Jérémie : Chapitre 32 verset 6 à 27.

 

Lecture de la parasha  Béhoukotaï : Lévitique : Chapitre 26 verset 3 à chapitre 27 verset 34.

 

Lecture de la haftarah Béhoukotaï : Jérémie : Chapitre 16 verset 19 à chapitre 17 verset 14.

 

Lecture messianique : 1 Pierre Chapitre 1; 1 à 9.

1 Timothée 1; 1 à 20.

Jacques 1; 12 à 26.

 

 

 

 

 

 

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Rédigé par Lydia.B

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Publié le 5 Mai 2023

Parasha EMOR du samedi 6 mai 2023

Un héritage d’amour.

 

 

 

La parasha Emor qui veut dire : « Parle  »

 

Cette parasha  commence par s’adresser au Cohanim afin qu’ils transmettent au peuple les lois de bonne conduite.

 

Ils enseigneront à mon peuple à distinguer ce qui est saint de ce qui est profane, ils lui feront connaître la différence entre ce qui est pur et ce qui est impur.Ils seront juges dans les contestations, et ils jugeront d’après mes lois.

Ils observeront aussi mes lois et mes ordonnances dans toutes mes fêtes, et ils sanctifieront mes shabbat. 

Haftarah Ezéchiel 44; 23,24.

 

 

Le texte commence par s’adresser uniquement aux Cohanim. Les cohanim étant les transmetteurs des valeurs de Dieu.

 

On pourrait penser que l’on n’est pas concerné si on n’est pas Cohen.

Nous sommes tous Cohen si nous sommes Israël.

 

Le Cohen d’aujourd’hui qui exerce ses fonctions est l’officiant celui qui dirige les prières, le déroulement du culte.

Celui qui transmet l’héritage du savoir, de la connaissance.

Le Cohen doit pouvoir transmettre en suscitant l’envie aux autres sans entraver leur liberté.

Il partage ses connaissances  car le savoir est un cadeau qu’il transmet aux autres, c’est l’altruisme au plus haut niveau.

Nous sommes donc tous des Cohen car nous sommes des messagers de la parole de Dieu, car comme nous avons reçu de Dieu nous transmettons notre foi à tous ceux qui veulent nous suivre.

 

Un cohanim est une personne dévouée  pour les autres. Car c’est celui qui prient pour les autres, c’est celui qui dit la bénédiction.

 

 

 

 

Il a été prouvé que les Cohanim ont dans leur génétique le chromosome Y  qui se signale comme;

« les gènes d’Aaron ».

Selon le constat de la science, le peuple d’Israël  semble avoir une même ancestralité commune typique.

Les séquences ADN de plus en plus performantes disposant désormais des bases de données génomiques de plus en plus importantes qui leur permet de faire des comparaisons avec des résultats de plus en plus sûr.

C’est génomique retrouve des traces d’ADN ancestrale donnant des informations biologiques sur les ancêtres d’appartenances juives, depuis les civilisations les plus anciennes ;

 

L’ADN acide désoxyribonucléique est une molécule que l’on retrouve dans toutes les cellules mortes ou vivantes.

Sa fonction principale  est de stocker l’information génétique.

Une transmission  de l’information  de génération en génération, ce qui s’appelle l’hérédité.

 

Depuis Abraham le père des nations qui a fécondé le tout Israël par Jacob son fils. Ces nations sont le peuple de Dieu , tous né avec le même ADN une descendance qui a hérité de la connaissance divine.

Malgré les siècles, les pires moments des civilisations, qui ont voulu faire disparaître le peuple de Dieu, comme durant la Shoah. Le peuple de Dieu a survécu par la transmission. Le peuple de Dieu a beaucoup perdu en savoir et en connaissance comme s’il avait subi un lavage de cerveaux, mais l’ADN est intact  et ravive  les souvenirs inconscients de son identité.

Ceux qui font partie du peuple juif étant privilégiés car la transmission est plus direct par leurs parents. Béni soit les juifs qui continuent à transmettre.

 

Aux autres des nations qui recherchent leurs identités juives perdues, leurs ADN les rappellent à revenir se rattacher à Israël.

Le Messie Yeshoua est venu pour rassembler le tout Israël. Il est venu  avec un corps portant l’ADN de Dieu.

Car le principe vital est dans le sang.

Et c’est par le sang que Yeshoua fait l’expiation de nos péchés pour rendre pur notre ADN originel.

 

 

Lévitique 17;1.

Car l'âme de la chair est dans le sang. Je vous l'ai donné sur l'autel, afin qu'il servît d'expiation pour vos âmes, car c'est par l'âme que le sang fait l’expiation.

 

 

-Car l’origine de la vie n’est pas à chercher dans ce bas monde, mais de chercher d’où on vient. Car l’homme ne parvient pas toujours à savoir qui il est et d’où il vient. Pensant qu’il est né pour mourir et pas pour vivre éternellement.  Car l’homme n’est pas un corps mortel, il est premièrement une âme, de laquelle remonte l’esprit.

 

L’âme est la mémoire du vécu, le témoignage de ce qu’elle vit  et de ce qu’elle sait.

 

L’esprit, l’âme et le corps sont liés entre eux, ces liens sont véhiculés par le sang dans le corps humain, généré par la circulation sanguine qui stock  ce qui est bon pour l’âme et évacue ce qui est mauvais selon les lois de Dieu.

 

L’esprit est décrit comme un parfum, lorsque l’on parle de  prières qui agit  sur le corps qui influence l’âme et c’est l’état de l’âme qui détermine notre voyage futur.

 

Car l’homme qui aura vécu avec des ambitions charnelles contraires aux lois  sortira de l’arbre de vie.

 

 

 

Il y aura ceux qui auront vécu pour leur corps, et ceux-là iront vers la direction de la mort que satan leur a destiné. Et ceux qui auront vécu pour leur âme, cherchant à retrouver le créateur celui qui a fait la promesse de la postérité d’Abraham  ceux là seront conduits vers l’éternité près de Dieu.

Que nos âmes soient libérées du péché. Que la mort ne nous surprenne pas avant que tous nos liens soient coupés.

 

Car l'homme s'en va vers sa demeure éternelle.

Avant que le cordon d'argent se détache.

Avant que la poussière retourne à la terre, comme elle y était, et que l'esprit retourne à Dieu qui l'a donné.

 

Car si notre héritage spirituel est de grande valeur pour celui qui en prend les gages.

Il en reste que certains héritages soient de mauvais héritages  comme des bagages qu’ils faillent larguer au large comme des cordes qu’ils faillent couper, des liens qui saccagent et qui ravagent nos vies de dérives en dérives.

 

 

Afin que cette parasha qui nous parle de transmissions et de retour sur nos origines, il est temps de briser, couper tous les liens d’âmes qui nous empêchent  d’aller de l’avant car les liens d’âmes négatifs  font obstacles à l’Esprit de Dieu.

Et tout ce qui fait obstacle nous empêche de vivre les lois de Dieu.

 

Pour couper les liens d’âmes il faut prier Dieu, lui soumettre son âme.

Lui demander de couper tous les liens et les transferts d’âmes et d’esprits liés à nos actes, à nos traumatismes affectifs et à nos faiblesses.

 

 

 

Cette coupure c’est la consécration de l’âme pour le Messie Yeshoua car en libérant notre âme il sera possible d’accomplir tout ce que Dieu nous demande et ce qu’il nous demande c’est de comprendre que Yeshoua c’est la coupe de vin du shabbat, la coupe de vin de Pessah, la coupe de vin de Shavouot,  et celle de Kippour et celle de Rosh Hashana, et puis celle de Souccot. Car la coupe c’est le sang qui coule sur nous et nous a libéré du mal pour avoir la vie éternelle

Car Yeshoua est celui qui était, qui est, et qui sera.

 

Yeshoua leur dit;`

En vérité, en vérité, je vous le dis, si quelqu'un garde mes lois, il ne verra jamais la mort.

 

 

 

Yeshoua leur dit: En vérité, en vérité, je vous le dis, avant qu'Abraham fût, je suis.

 

Nous sommes héritiers d’Abraham par son fils Jacob et c’est en cela que nous sommes comme des Cohanim rendu pur par l’alliance de sang de Yeshoua qui a fait de nous des Cohanim pour toujours.

 

Galates; 3; 29.

Et si vous êtes au Messie, vous êtes donc la postérité d'Abraham, héritiers selon la promesse.

 

Promesse donnée à tous ceux qui croient en Yeshoua le Messie et qui lui ont soumis leur âme, leur corps et leur esprit.

 

 

Car, tandis que les Cohanim sont devenus sacrificateurs sans  Serment, Yeshoua l'est devenu avec serment par celui qui lui a dit: Le Seigneur a juré, et il ne se repentira pas: Tu es sacrificateur pour toujours, Selon l'ordre de Melchisédek.

 

 

Car Il a versé son sang afin de nous rendre pur même si la mort nous touche, pour le jour du dernier jugement.

 

 

A celui qui nous aime, qui nous a délivrés de nos péchés par son sang, et qui a fait de nous un royaume, des sacrificateurs pour Dieu son Père, à lui soient la gloire et la puissance, aux siècles des siècles! Amen!

 

 

Que nos liens ne soient que des liens d’Amour qui nous unissent à Yeshoua.

 

Shabbat shalom

L.B

 

 

 

Lecture de la parasha : Lévitique : Chapitre 21 verset 1 à chapitre 24  verset 23.

 

Lecture messianique :  Hébreux; Chapitre; 2 verset  1 à 18.

Galates: Chapitre: 3 verset  26 ,29.

 

 

Lecture de la haftarah : Ezéchiel : Chapitre : 44 verset 15 à 31.

 

 

 

 

 

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Rédigé par Lydia.B

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